Ecrit le 18/10 depuis : The Yellow House.
Le Durbar Square de Katmandu regroupe une importante partie de ses monuments, mais nous ne nous y rendrons que dans quelques jours. Nous avons décidé de consacrer nos premiers jours ici a une visite de Thamel (quartier touristique), et des marchés situés vers Asan Tole et Indra Chowk, ainsi qu'a Swayambunath (le monkey temple).
Les marchés proposent majoritairement des vêtements, de l'électronique, et bien sûr bijoux en tous genres. Quant à Thamel, on y retrouve un échantillon de l'artisanat nepalais (peintures, sculptures, étoffes ou tapis...). À vrai dire, plus la boutique propose un large éventail, plus les prix sont élevés (jusqu'à deux ou trois fois plus...). Et suivant la même loi, quittez Katmandu pour rejoindre les autres villes et vous trouverez des prix encore plus avantageux (et aurez plus de choix...). Nous attendrons donc Bhaktapur ou Patan pour faire nos achats. Si les marches d'Asan Tole ou Indra Chowk peuvent paraître peu intéressants dans ce qu'ils proposent (pour nous), ils sont en revanche l'endroit où sec concentrent les nepalais, où ils marchandent à tour de bras. C'est aussi un enchevêtrement toujours surprenant de ruelles, places, carrefours, cours intérieures, et d'un nombre incalculable de petits ou plus grands temples. On retrouve ici ce que l'on avait déjà observé à Dharamsala : Les Nepalais s'habillent à l'européenne (on en a même vu de très fashion), tandis que les touristes tendent vers le baba cool.
Autre conséquence de ce tourisme, tous les métiers qui y sont lies s'avèrent bien plus rémunérateurs que les autre, et on aurait presque l'impression que tous le nepalais que l'on croise ont quelque chose à vendre (Objets, drogues, conseils, informations), jusqu'aux écoliers dont je ne citerais qu'un extrait :
Eux : "Namaste"
Nous : "Namaste"
Eux : "Five rupees please"
Nous : "..."
Eux : "One photo please"
Quand la mendicité deviens mimétisme... Car ces enfants, scolarises dans des écoles privées n'ont pas besoin de cela.
Je relativiserai en précisant que cette tendance est bien plus forte à Katmandu qu'ailleurs, et plus précisément dans Thamel.
Une remarque d'ordre générale, presque métaphysique : "Partout où l'on installe un supermarché les caissiers ont l'air blasés..."
Le Durbar Square de Katmandu regroupe une importante partie de ses monuments, mais nous ne nous y rendrons que dans quelques jours. Nous avons décidé de consacrer nos premiers jours ici a une visite de Thamel (quartier touristique), et des marchés situés vers Asan Tole et Indra Chowk, ainsi qu'a Swayambunath (le monkey temple).
Les marchés proposent majoritairement des vêtements, de l'électronique, et bien sûr bijoux en tous genres. Quant à Thamel, on y retrouve un échantillon de l'artisanat nepalais (peintures, sculptures, étoffes ou tapis...). À vrai dire, plus la boutique propose un large éventail, plus les prix sont élevés (jusqu'à deux ou trois fois plus...). Et suivant la même loi, quittez Katmandu pour rejoindre les autres villes et vous trouverez des prix encore plus avantageux (et aurez plus de choix...). Nous attendrons donc Bhaktapur ou Patan pour faire nos achats. Si les marches d'Asan Tole ou Indra Chowk peuvent paraître peu intéressants dans ce qu'ils proposent (pour nous), ils sont en revanche l'endroit où sec concentrent les nepalais, où ils marchandent à tour de bras. C'est aussi un enchevêtrement toujours surprenant de ruelles, places, carrefours, cours intérieures, et d'un nombre incalculable de petits ou plus grands temples. On retrouve ici ce que l'on avait déjà observé à Dharamsala : Les Nepalais s'habillent à l'européenne (on en a même vu de très fashion), tandis que les touristes tendent vers le baba cool.
Autre conséquence de ce tourisme, tous les métiers qui y sont lies s'avèrent bien plus rémunérateurs que les autre, et on aurait presque l'impression que tous le nepalais que l'on croise ont quelque chose à vendre (Objets, drogues, conseils, informations), jusqu'aux écoliers dont je ne citerais qu'un extrait :
Eux : "Namaste"
Nous : "Namaste"
Eux : "Five rupees please"
Nous : "..."
Eux : "One photo please"
Quand la mendicité deviens mimétisme... Car ces enfants, scolarises dans des écoles privées n'ont pas besoin de cela.
Je relativiserai en précisant que cette tendance est bien plus forte à Katmandu qu'ailleurs, et plus précisément dans Thamel.
Une remarque d'ordre générale, presque métaphysique : "Partout où l'on installe un supermarché les caissiers ont l'air blasés..."
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1 commentaire:
Hey vous, oui vous les hindous, comprenez vous toujours votre langue natale? Vous êtes loin, très loin, coupés d'ici plus que jamais. Déjà un mois que je suit avec engouement et, je ne le cache pas, envie et dégout, votre aventure... Tout paraît si.... Tellement... impossible à décrire. Alors moi je me contente de plaisirs plus à la hauteur de mon budget et de mon emplois du temps, je reviens de quelques jours à Barcelone, que j'ai redécouverte avec un guide local du nom de Xavier ; une coupure infime comparée à la votre, une culture plus proche, mais un petit brin de dépaysement qui n'est pas inintéressant! Je vous souhaite encore pleins de nouvelles choses pour vos yeux (et votre estomac, à ce que j'ai compris)... Ne nous oubliez pas (enfin un peu quand même hein!)
J'ai bien reçu votre carte, ça fait d'ailleurs un moment, j'étais tellement heureuse lorsqu'elle est tombée de la boite!
Anelyse, les photos sur picassa sont superbes, mais c'est pas tj pratique, il n'y a pas de classement, je ne sais pas si tu peux en faire un...
En tout cas, le 18bis se porte comme un chat, avec Mélissa ça se passe très bien, je profite de ma nouvelle position stratégique près de Montpar... Par contre dehors c'est l'hiver... Vivement le ski, la neige... Haaaaaaa (le dsaa, ca me gonfle un peu)
Prenez du bon temps, prenez, prenez, prenez...
A bientot
bonne suite à vous deux...
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