Anelyse étant particulièrement indisposée en cette belle troisième journée à Hampi, nous avons peu bougés de notre guesthouse. J'en viendrais donc directement à notre quatrième et dernier jour. Nous avons décidés de nous rendre à Anagundi, petit village situé à quelques kilomètres de l'autre côté de la rivière. Plus ancien encore qu'Hampi, Anegundi était selon la légende le royaume du roi-singe Hanuman que Rama (une incarnation de Vishnu si je ne m'abuses) vainquit sur le site même d'Hampi...Nous avons d'abord traverse la rivière sur une coquille de noix géante, nous offrant du même coup une jolie vue sur la rivière, et qui nous amena à bon port avant d'avoir achevé de couler. Et ce n'est qu'à peine cinq minutes plus tard que nous avons été interviewés dans le carde du tournage d'un documentaire local. Interroges sur ce que nous pensions d'Anegundi, je crains que notre intervention soit sans grand intérêt...Ça y est, nous pouvons enfin nous attaquer à Anegundi. Et après nous être perdus, on finit par nous indiquer le temple de Durga que nous traverserons sans vraiment y prêter attention pour nous retrouver une centaine de mètres plus loin entoures de rochers et profiter d'un panorama hallucinant (dont vous devriez vous aussi profiter si tout se passe bien...). Nous y resterons une bonne heure à cuire au soleil avant de nous décider à rentrer. Tant pis pour le Lakshmi Temple, tant pis pour le Hanuman Temple, le Vithalla nous attend.Retour à Hampi, et de là une marche dans une nature toujours aussi magnifique, nous arrivons près d'un grand mur de pierres nous cachant un temple qui parait sublime. Les grilles étant fermées, c'est un peu déçus que nous reprenons notre quête du Vithalla. Mais une autre entrée existait quelques centaines de mètres plus loin et nous permit de pénétrer dans ce qui s'avèrera être ce fameux temple (ouf!).
Et ça vaut le détour... La pierre rosée par le soleil couchant, la finesse des sculptures, les piliers chantants quand on les frappe du plat de la main, ce char de pierre de plusieurs dizaines de tonnes qui parait-il pouvait rouler jadis. Notre instinct d'aventurier fut à nouveau réveillé par une grille restée ouverte sur les profondeurs du complexe.
Nous partons demain, réveil 5h00.
Et ça vaut le détour... La pierre rosée par le soleil couchant, la finesse des sculptures, les piliers chantants quand on les frappe du plat de la main, ce char de pierre de plusieurs dizaines de tonnes qui parait-il pouvait rouler jadis. Notre instinct d'aventurier fut à nouveau réveillé par une grille restée ouverte sur les profondeurs du complexe.
Nous partons demain, réveil 5h00.
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