Écrit le 07/10 depuis : Bus Dharamsala-Amritsar et Hôtel Bharti, Haridwar.
Trajet sans grand intérêt (8h de bus, 10 h d'attentes, 9h de train), assez épuisant mais qui nous aura permis néanmoins de voir a quoi ressemble le vrai bus direct Dharamsala-Amritsar.
C'est a l'un des nombreux arrêts du bus, cette fois lors d'un passage a niveau (et il a fallu pousser le bus pour redémarrer) que j'ai pu poursuivre mon grand projet débuté avec les feux rouges absents de Delhi : La circulation indienne.
Vu d'un oeil extérieur, et certes encore inexpert, deux règles majeures semblent régir ce vaste capharnaüm :
- Loi du plus fort
- Le chaos absolu
Ou, plus précisément :
- Tu klaxonneras plus petit que toi
- Tu feras celui qui n'entend rien, de toutes façons il osera pas t'écraser...
Dans un registre plus sérieux, c'est durant ce même trajet que nous pouvions entendre sur notre gauche "Aqua - Barbie Girl", jouée par un portable a la pointe de la technologie, appartenant a un enfant d'à peine dix ans, tandis que sur ma droite nous croisait un vieil homme, sur une vielle charrette tirée par un cheval fatigue. Nouvel exemple d'une Inde a deux vitesses.
C'est après plusieurs heures d'attentes a Amritsar que nous avons pris notre premier train couchettes, somme toute confortable, direction Haridwar...
Trajet sans grand intérêt (8h de bus, 10 h d'attentes, 9h de train), assez épuisant mais qui nous aura permis néanmoins de voir a quoi ressemble le vrai bus direct Dharamsala-Amritsar.
C'est a l'un des nombreux arrêts du bus, cette fois lors d'un passage a niveau (et il a fallu pousser le bus pour redémarrer) que j'ai pu poursuivre mon grand projet débuté avec les feux rouges absents de Delhi : La circulation indienne.
Vu d'un oeil extérieur, et certes encore inexpert, deux règles majeures semblent régir ce vaste capharnaüm :
- Loi du plus fort
- Le chaos absolu
Ou, plus précisément :
- Tu klaxonneras plus petit que toi
- Tu feras celui qui n'entend rien, de toutes façons il osera pas t'écraser...
Dans un registre plus sérieux, c'est durant ce même trajet que nous pouvions entendre sur notre gauche "Aqua - Barbie Girl", jouée par un portable a la pointe de la technologie, appartenant a un enfant d'à peine dix ans, tandis que sur ma droite nous croisait un vieil homme, sur une vielle charrette tirée par un cheval fatigue. Nouvel exemple d'une Inde a deux vitesses.
C'est après plusieurs heures d'attentes a Amritsar que nous avons pris notre premier train couchettes, somme toute confortable, direction Haridwar...
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